89.

– Le livre est mon unité de base, ma piste de décollage, mon aire de jeux, chantait David Marsac, en se tirant les poils du nez. Le livre est ma tour et ma
force.

 

La revue a quelque chose d’un peu trop militaire – marche ou crève.

 

Crève beaucoup.

 

Le livre, par opposition, peut tranquillement envisager les siècles à venir dans des armoires, des greniers, le long des murs, sur les marches d’escaliers, dans les
salons d’amis dépositaires – et même dans les rayons de libraires audacieux.

 

(Nous en connaissons huit – Oui, madame / Oui, monsieur.)