782.

Il ne manque à ce livre que la soupière du lecteur.

 

Qu’est-ce qu’un mot sinon un arbitraire plaqué sur cent directions ?

 

Je me réclame sans rire de Balzac et de Cervantès : le tracteur et son moteur.

 

Les noms comme les commodes sont tiroirs et interchangeables.

15 Replies to “782.”

  1. Anastasia dit :

    Je préfère avoir la folie derrière moi, que devant, ça ouvre des horizons, contrairement
    à toi, qui bouche le beurre, fouette le vide mais ne bat pas l’amour. Salut.

  2. Anastasia dit :

    Va fouetter ta crème ! On dirait du beurre !

  3. anonymous dit :

    J’ai couché avec Kennedy, l’autre, un cigare dans l’ovale, plus une pipe à Simenon. J’ai caressé dans ma jeunesse le bourgeon de Labé, juste retournement de
    ses choses. A deux pouces j’ai creusé les fentes ; l’odeur de cul entre Pierre et Jean, je connais. Gary s’est dégrafé devant mes genoux, comme je vous parle. J’ai croqué la pomme d’Adam
    sous l’olivier. J’ai aussi de la conversation.

    J’ai sauvé Willy, tué Omar, mais ça ne compte pas.

    Il m’arrive encore de baiser Marie

     Mon avenir ?

     

    Quelle question !

  4. barbare dit :

    PUISSES-TU NE JAMAIS savoir SUR QUOI TU RICOCHES

  5. Babare dit :

    BATTUE !

  6. barbare dit :

     LOCUS LOCO 

  7. Anastasia dit :

    La question n’est pas vivre ou écrire, mais où vivre, et où écrire, car vivre c’est écrire, et écrire c’est vivre. Créer devenir. Construire. Inverser. Et partir, partir, partir.

  8. Anastasia dit :

    La littérature est
    une bande de fous furieux. Et la belle. Devenir.

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