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Marseille n’est pas en soi une ville dédiée au terrorisme international, malgré le pittoresque du centre ville, quartier Noailles bercé par le mouvement des foules acquises au quotidien de l’existence.

On en rencontre pourtant de plus en plus souvent, canon pointé sur les passants, enfants, vieillards et femmes (les hommes comptent pour du beurre) au mépris des conventions suisses de la plus élémentaire courtoisie. C’est sur les plages, cachés dans les rochers entre Cassis et Martigues, que se déploie le plus large éventail de terroristes huilés – de mémoire d’éditeur engagé.