673.

Trotte, bourrique, trotte.

 

Il est dommage que les lois interdisent aux écrivains de faire valoir leurs droits à la retraite aux alentours de la vingtaine.

 

Combien de livres pour épuiser son capital crottin ? 

 

 

21 Replies to “673.”

  1. Anastasia dit :


    « 
    Ne te bile pas,
    Molloy, on arrive (…) au moyen de canaux sans doute (…)

    elle pouvait voir les tintements de cristal
    (…)
    ce lieu actif des
    sensations
    (…) les statistiques m’échappent pour le moment(…) ou un conte polonais (…) mais de là à affirmer que la mer (…) il y a une marge (…) aux lettres
    détachées
    (…) dans l’un de ces jours(…) mais par quel temps de verbe exprimer
    cela (…)
    c’aurait pu être un de ces drapeaux rouge
    détrempé de pluie
    (…) un long dialogue s’ensuivit, entrecoupé de gémissements (…) brûlant, brûlant (…) je vais vous dire une chose (…)
    à franchir la gorge(…) aux étoiles
    (…) n’en parlons pas (…) j’irai même plus loin (…) sur la banquette vert
    jade
    (…) il y avait aussi du cuivre (…) de bois jaune
    (…) dans la forêt (…) comme si l’herbe (…) parfois rose (…) »

    Claude Simon
    Samuel Beckett Fernando
    Pessoa

     

  2. Anastasia dit :

    « Ne te bile pas, Molloy, on arrive (…) au moyen de canaux sans doute (…)
    elle pouvait voir les tintements de cristal (…) les statistiques m’échappent pour le moment(…) ou un conte polonais (…) mais de là à affirmer que la mer (…) il y a une marge (…) aux lettres détachées (…) mais par quel temps de verbe exprimer cela (…) c’aurait pu être un de ces drapeaux rouge détrempé de pluie (…) un long dialogue s’ensuivit, entrecoupé de gémissements
    (…)  brûlant, brûlant (…) je vais vous dire une chose (…)  à franchir la gorge (…) n’en parlons pas (…) j’irai même plus loin (…) sur la banquette vert jade (…) il y avait aussi du cuivre (…) de bois jaune (…) dans la forêt (…) comme si l’herbe (…) parfois rose (…)

    Samuel Beckett et Claude Simon

                                                          

  3. Anastasia dit :

    « Ne te bile pas, Molloy, on arrive (…) au moyen de canaux
    sans doute (…) les statistiques m’échappent pour le moment(…) mais de là à affirmer que la mer (…) il y a une marge (…) mais par quel temps de verbe exprimer cela (…) un long dialogue
    s’ensuivit, entrecoupé de gémissements (…)  brûlant, brûlant (…) je vais vous dire une chose (…) n’en parlons pas (…) j’irai même plus loin
    (…) il y avait aussi du cuivre (…) dans la forêt (…) comme si l’herbe (…)

    Samuel Beckett

     

  4. Anastasia dit :

    Comment-dites-vous ?

    Un coup de foudre
     

    Oh
    Yeah !

  5. Anastasia dit :

    Je ne souhaite pas faire taire les autres, certainement pas,
    chacun peut dire, doit le dire, ou juste le dire, comme il le croit, différement peut-être, ou imprécisement encore, le dire est une relation à l’autre, aussi, ou mal dit, une rencontre avec son
    corps à l’heure des essayages sous la peau décollée de plusieurs décennies de regards. Je ne souhaite pas faire taire les autres. Certainement pas. Je dis ce qui me bouleverse, sans haine, ou
    dans un cri maladroit bouleversé incohérent, c’est la presque-langue d’un corps à venir, plutôt en chemin, ou alors, le contraire de faire taire. C’est vouloir espérer l’ouverture, ne pas vouloir
    l’espérer, espérer comme ne pas cesser d’y croire, ou ce sont des étoiles sur les bords
    deshabillés de l’air ou de l’eau éloignées du point d’ancrage qu’elle ne situe pas, on le dira autrement, nous laissons remonter les courants, ce qu’elle veut dire elle tente de le dire, et
    s’approche ou recule, c’est un mouvement, vers le trouble, ce corps, c’est par amour, écrire amour, ou refuser d’être dressée. Ou enterrée vivante. Pas étouffer les chevelures. Mais vivre. Comme
    être prise.  Vivre comme respirer aux abandons. Et le dit encore, mais se retourne sur ses pas dans l’histoire de l’autre histoire cachée où s’emportent les flux épars d’une vie au trajet
    imprécis. D’un verre épais à découdre une voix qui appelle. Nous nous retournons, de nouveau, trop peut-être, nous nous retournons, mais avance d’une
    imprévisible intuition les pages du corps en train d’écrire,
    tu m’a dis,
    voilà, nous nous en tiendrons à ce que tu m’a dit, tu m’a dit, il y a quelque chose de fantastique, non, ce n’était pas une phrase comme ça, je ne sais plus ce que tu m’a dit, tu m’as dit quelque
    chose de fantastique,

  6. anonymous dit :

    VITE et qu’Anastasia les fasse tous taire!

    Marsac y compris (pardon). Place nette, s’il vous plaît qu’on vous y lise encore, A

    encore!

  7. Amvenir dit :

    Pourquoi le dire ?

  8. celeste dit :

    et se taire?

  9. amvenir dit :

    Fin de
    l’histoire sans l’avoir terminé, tu es parti en courant, vers le début d’une autre, au milieu de la précédente
    dont on ne
    connaît pas la fin, que déjà une autre
     commence
    par son
    milieu,
    là où ça
    pousse

  10. Anastasia dit :

    Si on peut me laisser terminer ce que j’ai à dire,
    merci

    CE GESTE, LE TIEN, TON OEUVRE

    TU L INVENTES ET ME BOULEVERSE DE TA LANGUE

     MAIS C’EST CE CHEMIN QUI CONDUIT AU GESTE

     CET ECART EN CHEMIN QUI ME BOULEVERSE
    OU UNE HISTOIRE EN PLUS DE L’HISTOIRE QUI EXISTE CAR
    UNE CHOSE EST QUE JE ME SENS
    DIFFERENTE

     JE N’AI RIEN CONTRE LES PERES
    JE NE LE DIRAI PAS COMME CA JE VEUX
    DIRE
    JE NE SUIS PAS DESIREUSE DE PERPETRER DES CRIMES UNE AUTRE HISTOIRE EST A CREER ET A VIVRE
    CERTAINS SONT BONS ET M’ONT AIDE COMME ON N’IMAGINE PAS OU ALORS JE IMAGINE QUE LES HISTOIRES SE MAGNIFIENT D’ELLES MEMES DE BECKETT A
    BONNEFOY EN PASSANT PAR TOI
    MAIS
    JE NE VEUX PAS RECEVOIR LA LECON QUI JUGE OU MEJUGE ALORS QUE JE SUIS EN TRAIN DE NAITRE ET C’EST PEUT ETRE INFINI CETTE NAISSANCE QUI N’EN FINIT PAS DE MAIS JE NE VEUX PAS RECEVOIR LA LECON QUI JUGE OU MEJUGE SANS POSSIBLE INCURSION DE
    LA DIFFERENCE DE L’AUTRE
    ET DE SA DIFFERENCE EN SON CHAOS SINGULIER AU CHAOS MEME
    VIENT L’AUTRE
    QUI N’EST PAS L’ENNEMI MAIS UN AUTRE EN DEVENIR D’AILLEURS, CE N’EST PAS UNE LECON, NON PAS LA LECON, MAIS LE MIRACLE  VIRGULE

     

     

     

  11. tu m'as arraché La langue dit :

    Tu M4AS ARACH2 LA LANGUE? L4APOSTROPHE

    TU M4AS
    D2JOU2                                          
    SERAIS6TU CRYPTOANTHROPOLOGUE? ENCORE 2CRIS6MOI

  12. Anastasia dit :

    Puisqu’il
    convient d’être précis


    J’AIME TON ECRITURE


    C’EST PEU DE LE DIRE


    C’EST BEAUCOUP DE LE DIRE


    MEME SI PERSONNE NE VOUS ENTEND


    ET QUE VOUS SEMBLEZ PARLER SEULE


    OU SEULE VOUS SEMBLEZ


    NI MEME PARLER
    JE SUIS TRAVERSEE DE TES LIVRES


    QUI ME SAUVENT DE VIVRE


    OU M’ETRANGLENT ET ME SAUVENT

    IL Y A CEUX QUI ONT DONNE LA VIE
    ET CEUX QUI VOUS LA SAUVENT

    EN FAISANT TOUT POUR
    OU PAS
    MAIS VOUS VOUS SAUVEZ


    NOUS NE SOMMES PAS ICI POUR REPANDRE


    LES ABOMINATIONS


    STERILES ET FAUSSEES


    SANS REGARD


    NOUS AVONS BESOIN D’UN REGARD SANS DISPARITE DE CLASSE


    C’EST UN GESTE QUI S’AJOUTE A UN AUTRE


    ET JE L’AI PEUT ETRE MAL DIT


    OUI SI MAL DIT


    A BOUT DE FORCES OU DE NERFS


    J’AIME TES LIVRES J’AIME TA LANGUE ET OUI
     


    LE GESTE


    ET C’EST BEAUCOUP D

  13. Anastasia dit :

    Mars 2011

    Nous voulions reconstituer l’essence des oeuvres en les traversant comme elles nous avaient traversé. Nous affirmions que nous n’étions pas des tricheurs
    mais des traîtres à la fixité et nous avions pour ambition de donner vie : autre, respirante et nouvelle à ce qui existait déjà. Nous nous prenions pour des donneurs de vie, surtout, nous
    prenions du temps et grand soin à transcrire cette fidélité aux origines.

    Sans le savoir, nous avons plongé les mains dans l’acide. Désormais, nous ne pouvons plus détourner notre regard.
    Nous ne pouvons que détourner les oeuvres. Nous ne pouvons plus nous taire pour ne pas dire ce que nous avons à dire. Nous ne sommes pas fous, nous n’allons pas passer notre vie à
    reconstituer des oeuvres déjà écrites, cela a déjà été fait, ou les dire autrement ; non, autrement le dire ne nous intéresse pas plus, parce que nous avons à dire quelque chose, en réalité,
    nous souhaitons désormais nous affranchir de notre rapport à l’oeuvre.

    Nous écrirons quelque chose à partir des oeuvres mais pas sur elles, non pas comme ça, pas en cherchant à les
    reconstituer, plutôt en nous reconstituant nous-mêmes.
    Nous ne sommes pas des Autorités Littéraires soucieuses de rendre le sens qui n’est pas le nôtre. Nous ne sommes pas en dette
    non plus. Nous souhaitons approcher de ce qui nous échappe.

    Nous écrivons encore sur des pages écrites, littéralement nous écrivons presque, mais pas encore en notre nom, il
    est d’usage d’écrire, ou préférable ou recommandé d’écrire sur une page blanche qui a pourtant ses reflets, ses noirceurs, ses obstacles et sa mémoire bien occupée. Nous écrivons sur des
    pages écrites, sans doute parce que nous ne sommes pas encore capables d’écrire en dehors de l’écriture même.

    Nous approchons, nous lisons, nous écrivons grâce aux oeuvres, à ce quelque chose qui nous nomme, nous traverse et
    surtout nous échappe. Lire (Ecrire) devient un tout autre affranchir, un aller sans retour, un partir, un prendre la route, oui mais laquelle ?

    Qu’on ne compte plus sur nous pour reconstituer la fidélité, l’exactitude, l’esprit, la tête, tout ce qu’on
    voudra, qu’on ne compte plus sur nous, nous faisons ce que nous voulons et invitons vivement les lecteurs à lire les oeuvres essentielles à notre cheminement. Ecrire (ET) Partir et Non
    Sur (
    mais) Avec. (Et Alors.)

    Nous n’apparaissons pas encore tout à fait, nous sommes proches de devenir. En chemin. Nous sommes en chemin. Nous
    ne pouvons pas avancer sans lire (et ecrire) et nous devons nous échapper d’une seule traversée littéraire. C’est peut-être même la seule chose qui compte : être capable, non pas de
    recopier, de mimer, de reconstituer mais d’inventer le geste.
    Nous ne ferons plus de synthèse, nous détournerons (qui n’est pas un crime) les oeuvres vers ce que nous voulons, nous écrirons ce que nous voulons
    écrire avec toutes les difficultés de creuser des lignes en dedans les lignes.
     
    Nous écrirons juste qui nous sommes.

  14. Anastasia dit :

    Que peut-il ? Par amour. Qu’a-t-il fait ? C’est en cours. […] Il ajoute des possibilités à son histoire, et
    en cela il contre la logique criminelle. Cette histoire est en train de naître. Incomplète, initiatique, désordonnée. Il a pris ce corps ou cette transmission et n’en sait rien faire que de
    produire dans le désordre d’y faire. En vérité, on est tenté de ne pas le plaindre car il se débat avec l’histoire. Alors, il s’agite, il ne reste pas un moment tranquille ; il sent autour de lui
    avec effroi la solitude et les ténèbres ; ceux qui ont peur la nuit chantent, lui se remue. Il fait rage, touche à tout, il court avec des projets ; en créant créer, il explique ; il se
    cherche, ou se quitte, cherche à se donner la possibilité de vivre autrement car il est autre si fragile ; c’est le mouvement perpétuel ; cette roue tourne. […] Ce qu’il attaque, ce qu’il
    poursuit, ce qu’ils poursuivent tous avec lui, ce sur quoi ils s’acharnent, ce qu’ils veulent dire, ou brûlent de te dire, ce n’est pas vouloir supprimer, ni détruire ou même anéantir ce qui a
    existé, existe, les a précédé, fondé, ce n’est pas ça. Nous voulons créer en nous ajoutant, pas détruire ou supprimer ou bruler l’histoire puisqu’elle est là, non ajouter le geste, la
    différence, même dans l’accès au geste, car nous nous sentons différents,  autres, étrangers. Et ce n’est pas un crime, c’est un cri qui fait dire ça qu’il fait, dans le désordre d’une
    naissance, autrement, avec, pas sans l’autre.

  15. Anastasia dit :

    Et tu rajoutes
    :

    Je
    n’ai pas de haine, je ne suis pas aigrie ou alors un effroyable tapage que d’aucuns nomment
    papillotement
    et bruitage
    , et tant mieux
    si je suis drole, c’est toujours mieux que ta marionette-froideur, chacun pense ou écrit comme il veut, oui j’ai dit penser,
    et
    chacun
    , je suis juste
    un peu tendue à l’idée de tous ceux-là qui te récitent la leçon du possible désordre rattachée d’avance à la leçon de l’arrière, enchaînée de l’ordre, sans jamais désaprendre la
    leçon ou la théorie, ou lui ajouter quelque chose, pas du nouveau,
    mais de
    nouveau
    ,
    une
    ouverture, ou respiration autre,
    ou différemment
    écrire l’étrangère,
    et je veux bien
    admettre que j’en récite une de leçon, surement, même ou avoir tous les défauts des primitifs ou tordus naïfs ou ça que tu veux, mais pas de haine, non mes pulsions n’ont pas de haine
    contre toi, je ne suis pas contre toi, je te le dis,
    c’est avec et
    ailleurs
    que nous
    pouvons faire, ou pas comme ça, ou différemment, pas comme tu as dit ce que d’autres ont prévu pour toi, rameute la différence en possibles, en mélanges, en rapports, en surprises, c’est
    l’accueil l’autre, le corps autre, ce corps étranger. Ce corps autre.
    Ce corps, ton
    propre corps mélangé des autres, mais ouvert, devenant autre à son tour, affamé, irrépressible, insoumis, involontaire,  jouissif, fécond, ou le
    deviendra, impossible-possible
    , avec la
    leçon, oui les leçons existent, nous ne le nions pas, nous venons de là, elles nous ont porté, mais en dehors de la leçon, après, ou
    avec après, tu dis quoi ? Tu fais quoi ?
    N’en reste pas à la finitude, parce qu’a la fin on ne sait plus bien qui est dans le labyrinthe, ne fixe pas les règles de l’arrière, défixe les angles, fait émaner la variété de l’écart, ce
    mélange ou rapport fortuit, imprévisible, possible, inadapté, curieux, peut-être grotesque ou incohérent, mais grévé de tout ce que tu as appris ou crois savoir,
    arrache les
    leçons des cadavres où bien des roses.

  16. Anastasia dit :

    MANIVELLE
    A L USAGE DU ROMANSIEUR

     


    1. interdiction-système de faire des commentaires,

     


    d’ailleurs fait-on jamais un comment taire ?

     


    2. interdiction de parler de son écriture en devenir
    ni même de parler de quoi dire puisque

     


    3. interdiction d’écrire en

    caractères regard

     


    4. interdiction d’écrire un roman en l’ayant explicité avant qu’il ne fut ou comme il ne sera pas ou est devenu, ou deviendra

     


    à force d’écart et de transports contraires

     


    5. interdiction SURTOUT, notez :
    interdiction
    surtout

    de s’écarter de la théorie, pardon,

     


    de la loi du roman

     


    défunte, désamorcée, et putride

     

    6.
    TU RETIENS LA LECON, TU L’APPRENDS PAR LE COEUR ET SANS LE CORPS, TU LA RECITES AUX BONS ENTENDEURS QUE JE NE SALUE PAS SOUS TOUTES LES COUTURES DE TON RECITATIF DEGLUTI ET MARMITONNE DE VIEUX
    LUSTRES COMME UNE ELEGIE INAUGURALE, OPAQUE ET INSENSIBLE A L’IDEE MEME D’UN REGARD, ET CE N EST PAS UN SENTIMENT UN REGARD, VOILA TU RECOPIES TA PALETTE DES SONATES EN MADELEINE OU PAUPIERES
    INTREMPEES VOLONTAIRES QUI NOUS REPAND LA TECHNIQUE, LA COUTURE,  LA LECON, L’IMMERVEILLEUX JUSQUE A LA SOUPE AFFUBLEE DE L ECOLE, OU RIEN, TU
    ENTENDS, RIEN N’ETONNE NI DECHIRE NI DETONNE QU’UNE SEULE IMITATION SANS INCURSION DE LA POSSIBILITE DE :

     


     
    L’AUTRE

     

  17. Anastasia dit :

    amiracles

  18. Anastasia dit :

    Les beaux
    j
    ours

  19. Anastasia dit :

    et c’est un rythme la grande forêt, ou tangage,  qui va en son là de qui, ou via ce cri, en ce va, par un signe haché,
    donc,
    elle aime
    et le hasard fait que certains sont d’autres
    ou quelques lettres seulement ni particulierement

     

    quand tout a coup surgir lavionrévélateur :
    miam
    ,
    évidemment !

     

    a-bord cruy lire pilon, je préfère joie,

     

     

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