468.

Le souffle a été remplacé par le ventilateur.

 

En délaissant les livres qui auraient pu compter, en des temps révolus, les jeunes générations nous font savoir que la littérature est aujourd’hui un art voué aux
caves, aux caisses, aux archivages précautionneux de bibliothécaires anticipant la pénurie des siècles à venir.

 

Tant de vrais bons livres dégoûtent de la littérature. (Si peu d’exceptionnels.)

 

Les écrivains maudits ont commencé à faire valoir leurs droits à la retraite.

 

Et toujours pas de quatrième ouvrage en vue. Ohé, les fous, les frappés du cerveau, les dégommés de la cervelle, les recalés sur les tables des libraires ! Nous, on
vous édite.

2 Replies to “468.”

  1. Nelson dit :

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