370.

La charité m’impose de ne rien dire du dernier livre de Martine L. (de Télérama), publié chez Liana L. (pour Télérama), à l’exception du bien
sincère que j’en foutre pense.

 

J’aime beaucoup la délicatesse des écrivains capables de rendre le poudroiement des os d’enfants broyés sous la meule du meunier, dans le soleil couchant d’un
automne attiédi.