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Dans cent ans, quand nous serons tous morts, nos descendants s’étonneront de votre aveuglement.

Rien ne laissait  prévoir en 2010, qu’un siècle plus tard, à l’occasion du transfert de ses cendres de Besançon au Panthéon, l’arrière petit clone simplifié du président de la république française prononcerait l’éloge funèbre de P.N.A. Handschin, dont l’œuvre fut un éclair tombé du ciel sur les générations futures.

Le dernier numéro de Dissonances (aux pages critiques inégalées dans le paysage littéraire) propose un aperçu du dernier livre, Ma vie, de P.N.A. Handschin, élégamment signé par moi-m’aime en personne. Ça vous changera du Matricule des anges, qui n’en fait ni mention ni recension depuis son premier livre en 2003.

Par fidélité au vieux monde, peut-être.