314.

– Apparemment, il rase gratis ! s’étonna le petit éditeur au cours de sa lecture.

 

David Marsac fit jouer ses muscles à travers le peignoir, saillir ses clavicules, trembler ses longs beaux cils, enfin montra l’acier de sa prothèse dentaire avant
de se remettre, rasséréné, à la lecture de ce caïd de la littérature française dont les écrits lui inspiraient des terreurs nocturnes.

 

– La littérature ou la vie ! hurla le petit éditeur index tendus vers son miroir (pouces angles droits).

 

Brossage des dents et puis au lit.