300.

Dans deux-cent-cinquante-trois ans, je serai tricentenaire, et je m’en réjouis d’avance. En attendant, champagne !

 

Il faudra bien un jour que la littérature se limite à parler de ceux qu’elle connaît personnellement. Je lui transmets immédiatement mon adresse Facebook.

 

Aimer un écrivain ce n’est jamais qu’extraire deux ou trois livres de son œuvre pour les relire avec plaisir – moins cette ferveur des premières découvertes (ni la
rage des déconvenues.)

 

Arrive le moment où le lecteur refuse de simuler, moment de la maturité vaguement sénile, un peu avant la fougue irrémédiable du tombeau.