274.

Je me demande ce qu’Agathe et Suzie viennent faire aujourd’hui dans les pages de mon blog et quelle œuvre en chantier les a soustraites à l’attention de leur
papa.

 

Vue la porosité des noms aussitôt distillés à l’infini d’ailleurs très relatif du Web, les corps ne résisteront pas longtemps à la transsudation et passeront
bientôt par nos écrans. Éric Dussert, hier. Le lendemain, les filles Chevillard.

 

Les recueillir ? Leur interdire l’accès de mes pixels ? Ou les laisser aller et venir, comparer et choisir, faire leur marché, profiter du détour pour
s’enrichir.

 

(Cet espace volatil est truffé de mots-clés destinés aux moteurs de recherche. Soyez vigilants.)