258.

Notre troisième livre est en route, comme on dit d’un enfant, et déjà nous songeons au quatrième.

 

Mais pas de quatrième en vue ! Qui le père ? Où la mère ?

 

Nous aimerions publier un court essai enlevé d’un auteur inédit (.e .e .e) dans les circuits, que nous pourrions tirer à boulets rouges en 500 (000)
exemplaires.

 

Sur ce que vous voulez, l’esseh – pourvu que le style emporte la pensée. 

 

À vous lire, vénériennes et vénéneux auteurs.

2 Replies to “258.”

  1. David dit :

    Merci à vous, pour la lecture, les précisions et le lien. 

  2. David dit :

    Yes ! YESSSSSSSSSSSSSSS !!! Moi, moi !

     

    Tout est prêt et coup de bol, c’est pas manuscrit, c’est sur cette page :

    http://ahlalalan.over-blog.com/pages/Prose_des_vents-4559648.html

    Enfin, c’est le sommaire, si les soixante doigts (quelle équipe !) de votre comité de lecture veulent bien cliquer (tous ensemble !) sur les chiffres romains (Non, c’est pas i, des v et des x
    majuscules, j’ai une police spéciale, comme dans l’ex ère des A) que je vous propose, ils pourraient bien rester… totalement indifférents, ou pas, ça doit être une question de métal carpiens
    (je cherchais un autre mot, mais il rime à ces deux derniers-là… ).

    Je ne voudrais pas abuser de votre temps, patron (j’peux vous appeler « patron » faut que je m’entraine) mais j’ai une écriture proprement expérimentale, pas moins, il y a une chance d’indien
    d’amérique pour que vous soyez subjugé.

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