199.

C’est en effet peu dire de Jean-Louis Ézine qu’il a défait l’assaut de notre comité de lecture. Huit lecteurs aux biceps de déménageurs (les piles de manuscrits) lui sont tombés dessus dès la première lueur de l’aube. Rien à faire. Ézine inébranlable.

Crac !

 

Le premier bras céda à la pression commune, puis un deuxième, un troisième, le suivant, un de plus, et six et sept et huit !

Le lendemain matin, David Petiot se demandait comment remettre Ézine en pieuvre état.

– Abracadabra ?