172.
Sous l’aile du butor, dans le panier du marchand, Le Matricule des anges confirme, confiant, la résurrection du pachyderme de la littérature française et nous dévoile
son nouveau titre. Kol Osher peut mourir tranquille (sommeil de pierre).
Il serait d’ailleurs temps d’annoncer la nouvelle sur les écrans :
Le Matricule des anges, juillet-août 1850
2 Replies to “172.”
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Oups ! (Il faudrait peut-être le leur signaler gentiment.)