164.

Stop. Lisez nos livres. Stop. Lisez nos livres. Stop. Lisez nos livres. Stop. Avant l’envoi de
vos manus. STOP
(trop tôt).

 

Pas de narratif pur jus, pliz. (On aime ici les faux plis, les faux nez, les f’auteurs de
troubles myopes.)
Envoyez plutôt votre prose repassée à Stock. Stop. Gallimard. Stop. Minuit (panne d’électricité). Paf !

 

Nous je on aime (tu & moi) le bordel syntaxique, les petits woaseaux pris dans les filles électriques du récifffffff ……
fiiiiiiiccccchhhhttepcheut… (le fusible qui saute).

 

Soyez sympas, les zôteurs (radins !) – vous vouslez con vou pubis et vous pas lire nos livres pleins de couilles graphiqs
(correcteurs morts de froid dans nos caves c’t hyver et romarin).

 

– Claro ?

 

(Message personnel : Alors, t’en es où avec les Goncourt ?)

 

(Message 2 personnel : Toujours pas lu Mouton de Morgiève ?)

2 Replies to “164.”

  1. PhA dit :

    Vous avez compris que je m’adressais surtout à vos visiteurs, David ; et puisque vous parlez de Liquide (merci pour votre intérêt !), j’en profite pour rajouter que c’est précisément
    après avoir lu et aimé plusieurs livres publiés par Quidam que je me suis décidé à leur envoyer le manuscrit. C’est comme ça, il me semble, que ça peut marcher.

  2. PhA dit :

    Il faut – en effet – rappeler cette priorité, trop souvent oubliée. Les manuscrits ne sont pas des graines de pissenlit, et leurs auteurs ne doivent pas se prendre pour la belle souffleuse à
    l’abondante chevelure de leur petit Larousse. Aimer le travail d’un éditeur est la première condition favorable à la réciproque espérée – et pour aimer, il faut connaître, et lire.

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