156.

– Ce roman passionnant lui donne l’air de l’idiot ravi que le tome 2 exploitera sans vergogne.

 

– Des goûts et des coulures…, intervient Hyvernaud.

 

– Pour ma part, j’ai tranché la question du jugement esthétique.

 

–  Et comment ?

 

–  Je lis en bloc, sans trier, et je me laisse porter par les proximités ainsi constituées. Il arrive qu’Amélie Nothomb ait des moments dignes de Pierre
Michon.