1199.
Dix jours d’absence, et le lecteur fuit de toutes parts, une vraie passoire en manque de contenu.
(Le plaisir de ne rien lire n’est pas facile à satisfaire.)
Mon logiciel anti-spam fait très bien la lecture des manuscrits neuneus que je reçois : direct à la corbeille le poète spontané en mal de retour !
(À mon avis, le meilleur conseil.)
6 Replies to “1199.”
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Desoro, rose d’eau,sort
l’or de ton souffle dehors
Aurore, tu portais l’aube en cette extrémité qui t’attendait, loin, très loin. Musiques
C’est quoi ce texte Villiers ? Un aplomb fugitif de la pensée aurait sauté dans ta mâchoire abandonnique ? Tu joues la
nuit sans le solstice et nous sers une trompette d’asphyxie, c’est la mesure qui coule par la conjonctivite ou le cerveau qui fuite à l’hiver ?
Ecris les musiques du souffle
Tu as pris le train complexe et ondulant de la pensée et tu aurais remis la beauté pour demain ? Aujourd’hui est-il
suffisant ? On va se taper ces baillements de lignes jusqu’à se confectionner une famine ?
Desoro, rose d’eau,sort
l’or de ton souffle dehors
Aurore, tu portais l’aube en cette extrémité qui t’attendait, loin, très loin. Musiques
C’est quoi ce texte Villiers ? Un aplomb fugitif de la pensée aurait sauté dans ta mâchoire abandonnique ? Tu joues la
nuit sans le solstice et nous sers une trompette d’asphyxie, c’est la mesure qui coule par la conjonctivite ou le cerveau qui fuite à l’hiver ?
Ecris les musiques du souffle
Tu as pris le train complexe et ondulant de la pensée et tu aurais remis la beauté pour demain ? Aujourd’hui est-il
suffisant ? On va se taper ces baillements de lignes jusqu’à se confectionner une famine ?