1085.

Les livres sont donnés en modèle – d’amour, de probité, de souffrance, de vie… Parfois d’écriture.

 

La première page du Monde des Bulbes de ce jour d’hui m’invite à suivre « l’ardente Samantha dans sa danse nuptiale ». Je ne sais pas qui est
Nils C. Ahl, nouveau Panégyotis du journalisme, mais les mouvements qui animent sa plume se lisent comme deux gouttes d’eau au bout du slip.

 

Je me demande si un article de cette nature nourrit les ventes ou les lamine. Une érection dans l’assistance ? 

 

J’attends avec impatience le 13/13/1313.

22 Replies to “1085.”

  1. Anastasia dit :

    La lumière (…) d’une insondable obscurité (…) où l’on risque (…) tumultes

  2. Anastasia dit :

    D’excès

    de jouissances

    et de révolution

     

     

  3. Anastasia dit :

    « Ecrire beaucoup ne sert à rien s’il n’y a rien à dire. »
    La terre sèche du jansénisme est l’aveu central du capitalisme, le chiffre avant la gitane, et la servitude jusque dans l’aorte.

     

    Quelques libertés supplémentaires ?

  4. .... dit :


    Toi qui dors ou qui baises ou qui pleures ou vomis ou lis ou ronfles ou cajoles ou rentres ou chies ou écumes la beauté des nuits ou comptes la caisse ou pisses ta bière ou violes une femme ou
    chantes sans savoir quoi ou sors ton chien ou pètes parmi les vivants ou découpes la volaille ou surveilles le voyant ou piques un phare ou quittes ton âme ou meurs plus simple qu’une branche ou
    roules ou branles ou vois les images ou lave-toi ou rhabille-toi ou insères ta carte ou lèves ta peau ou danses, moi qui t’écris, je fais tout ça
    .

  5. .. dit :


    nous¨


     
    .au

     

     

  6. . dit :

    L’heure est un
    gage                                              
    d’inservitude.

                                                                        
    Prendre des châtaignes dans le coude

              
    Entre deux suspensions
       
                     

     

    Fera bien un vœu
     d’escabeau               
                                                         
                                                       

  7. Anastasia dit :

    Chevaux

    en liberté

     

    de présages

  8. Anastasia dit :

    AVIS AUX ADHESIFS

    QUE LES UNIFORMES ET AUTRES LANGUES DE
    PENITENCE AILLENT SE FAIRE BOMBER LEUR SERVITUDE

     AU TARTRE DES LETTRES

     

     

  9. Contrat d'édition dit :

    Maintenant je te le dis, tu dois écrire sur mon dos, contre moi, je te véhiculerai avant que tu comprennes qu’on
    achève toujours sa monture, que ça se mange. 

  10. sweden dit :

    Ne crois pas
    une seconde que mes effets de police sont une fantaisie. Je cherche à voir !

  11. saturne dit :

    Si seulement tu savais où je repars, la littérature se vendrait…

  12. tsfw dit :

    N’attendez pas de moi une
    fidélité dominicale au rendez-vous des sœurs, je me promenais là, je n’y ai pas mes aises, le rond de serviette au cul, je ne faisais que passer, pas pour moi ! La terrasse où l’heure
    trisse, vous rêvez ! ou alors double express ! JE vous suis quand ça me chante !


    de vous guetter

  13. sfwt dit :

    Je n’écris pas je
    danse !

     

     

     

    au bal des
    pompiers.

  14. Marcel dit :

    Je
    vous avais écrit beaucoup au verso d’un mauvais mot, avais léché le trait de colle, scellé l’enveloppe, je vous avais trouvée, oui, il y a si peu. Je vous ai vue comme je ne me vois pas, sauf un
    effort, tout particulier, se voir a un prix, j’avais deux mots à vous écrire, dont le mauvais. Vous atteindre a failli, en explosion de sens, vous poussiez la porte de verre, celle où l’on se
    voit, vous vous y êtes regardée, je vous ai vue moi dedans, mais pas vous. Ecrire beaucoup ne sert à rien s’il n’y a rien à dire. Je vous ai vue passer.

  15. pline le chien dit :


    Tu tentes le chien au mauvais trou.


    Il a pâté,


     la bête est plus encore elle-même replète que fornicante.


    Tu entres en noces un os entre les dents


    Tu bolchevises tu sens le rance


    Cure-dent anatomique, n’y va pas


    Le chien a pâté

     

     

  16. Anastasia dit :

    Je
    tenais par tes yeux au bout de leurs lignes pour mieux les relier.
    A
    l’exil d’une trilogie aux longues cordes nuptiales, aux voiles des armes les plus ardentes.

    D’abord cette nuit qui n’est pas
    le récit

    mais son indéchiffrable différence où les jouissances exultaient
    de l’aimer
    « là où les
    signes perdent leurs sens »
     nous
    en concevions la beauté.

  17. Anastasia dit :

    Je tenais par tes yeux au bout de leurs lignes pour mieux les relier.

  18. Anastasia dit :

    Swift, je me suis plantée de mots, autant vous le dire, je préfère nos liaisons brutes, si je ne suis pas sous tension, ça baille les chaussons et le texte déchante.  Les masses, les masses
    ! Et les lieux communs c’est projectif ?  A cet été ! Anastasia

  19. Anastasia dit :


    « là où les signes perdent

    leurs*
    sens »
    nous ne voyons plus le monde,
    nous en concevons la beauté

    *Baudrillard

  20. Anastasia dit :

    D’abord cette suite qui
    n’est pas
    le
    récit
    mais son
    indéchiffrable différence où les jouissances des terres qui s’effondrent exultaient
    de l’aimer

  21. Anastasia dit :

    A l’exil
    d’une trilogie aux longues cordes nuptiales,
    aux voiles des armes les plus ardentes.

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