1015.

L’écrivain monoglotte est une erreur de la culture. On va changer tout ça. 

6 Replies to “1015.”

  1. Anastasia dit :

    un jour tes yeux soudain s’ouvriront cherchant si souvent la vie comme le vent d’une chute
    inversée

  2. Anastasia dit :

    PELLE A INTRIGUE COMPRISE

     

    HEROÏNEGRAMMAIRE

  3. Anastasia dit :

    Je ne cautionne pas ma traduction pire que du rideau à
    courgette un soir de grande guenille, ce sont des choses qui arrivent David Marsac, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise, j’ai essayé, j’aimerais bien vous y voir à essuyer le vent d’hiver
    et flotter les brouillards, il fallait sortir la salamandre ? J’aurais voulu les iles de neige noires, impossible, je me suis vue courir d’effroi, voilà la vérité, ou Chevillard pire qu’un
    râteau et toute la maison vide, vous appelez ça un poème, un triple matin en dessous d’au loin, pas moi, et ce sera l’époque de la moisson, et pourquoi pas le violon dans la brouette, on se
    demande où sont passées les incisives, nuit après nuit, c’est confondant, j’ai fait plus mauvais que lui, ce sont des nécessités qui ne devraient jamais plus exister, ou mon œil qui a raté,
    j’avais pensé à escarpé, toutes ces montagnes, et cet obscur goudron qui baille au foin, triple baise jusqu’à l’aurore, ça nous changerait, ça commence à me courir ,je n’ai jamais battu la nuit,
    c’est ridicule, David, l’Astre ne m’a jamais quittée ! 

  4. Anastasia dit :

    Paradis

    pour une traduction (suite)

     

    John Keats, 1818

    O thou whose face felt the Winter’s wind

    Whose eye has seen the snow-clouds hung in mist

    And the black elm tops, mong the freezing stars

    To thee the spring will be a harvest-time

    O thou, whose only book has been the light

    Of supreme darkness wich thou feddest on,

    Night after night when Phoebus was away
    To thee the Spring shall be a triple morn

     

    Texte traduit par R. D., 2009

    O toi dont le visage a essuyé le vent d’Hiver

    Dont l’œil a vu les nuages de neige flotter dans les brouillards

    Et les cimes noires de l’orme, parmi les étoiles glacées

    A toi le printemps sera époque de moisson

    O toi dont le seul livre a été la lumière

    Des ténèbres suprêmes dont tu te sustentais

    Nuit après nuit quand Phebus était loin

    A toi le Printemps sera triple matin

     

    Libre traduction (en cours)

    A toi dont le visage a vu courir l’effroi

    De ton œil nu transparent à l’obscur

    Et du haut de ses forces la noirceur d’un éclat

    A toi que la beauté saisisse

    A toi toujours dont la lumière fut le seul livre

    Aux lieux irrespirables dont tu battais la nuit

    L’Astre t’avait quitté

     

    A toi jusqu’à l’aurore.

  5. Anastasia dit :

    Paradis

    pour une traduction (2)

     

    John Keats, 1818

    O thou whose face felt the Winter’s wind,

    Whose eye has seen the snow-clouds hung in mist,

    And the black elm tops, mong the freezing stars,

    To thee the spring will be a harvest-time.

     

    Texte traduit par R. D., 2009

    O toi dont le visage a essuyé le vent d’Hiver

    Dont l’œil a vu les nuages de neige flotter dans les brouillards

    Et les cimes noires de l’orme, parmi les étoiles glacées

    A toi le printemps sera époque de moisson

     

    Libre traduction (en cours)

    A toi dont le visage a vu courir l’effroi

    De ton œil nu transparent à l’obscur

    Et du haut de nos forces la noirceur de l’éclat

     

    A toi qu’une beauté saisisse

  6. Anastasia dit :

    Paradis

    pour une traduction

     

    John Keats, 1818

    O thou whose face felt the Winter’s wind,

    Whose eye has seen the snow-clouds hung in mist,

    And the black elm tops, mong the freezing stars,

    To thee the spring will be a harvest-time.

     

    Texte traduit par R. D., 2009

    O toi dont le visage a essuyé le vent d’Hiver

    Dont l’œil a vu les nuages de neige flotter dans les brouillards

    Et les cimes noires de l’orme, parmi les étoiles glacées

    A toi le printemps sera époque de moisson

     

    Libre traduction (en cours)

    A toi dont le visage a vu courir l’effroi

    De ton œil nu vierge à l’obscur

    Et du haut de nos forces, dans la noirceur de l’éclat

     

    A toi que la beauté saisisse

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