1010.

C’est le jour de nous égorger et de passer au fil dentaire les orifices de nos ennemis – les unir par la viande en collier.

 

Le bréviaire a remplacé le livre ; le culte, la littérature ; le prédicateur, l’éditeur ; l’épais, le regard du lecteur.

 

48 Replies to “1010.”

  1. Anastasia dit :

    DE
    CE QUI EST TROP BEAU VOYAGEA LONGTEMPS TOUJOURS DE MANQUER
    DE
    TES LEVRES LES CIELS PARTOUT OU ILS PASSAIENT

  2. Anastasia dit :

    Nous irons de la nuit sans s’y ensevelir qu’un autre tumulte, de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre,
    dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. De toutes langues. De cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit. 

  3. Anastasia dit :


    De ce qui est trop beau, nous irons de la nuit. De jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. De toutes langues. De
    cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit.

     


    J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse. Du grand vent de tes yeux qu’un souffle déborde. De tes lèvres les ciels partout où ils passaient, nos
    palpitations éclatantes. Je vise le ciel, l’extase, le képi sans étoiles du Kilimandjaro. Et quand je dis extase, ça veut dire trafalguer
    l’atmosphère.

  4. Anastasia dit :

    Voltige l’éclat. Du grand vent de tes yeux. Nos quelques chances.

  5. Anastasia dit :

     ton cœur me bat d’aurore

  6. poetic motion dit :

  7. o dit :

    ici de te toucher

  8. in extenso dit :

     (…)(()…)(

  9. Anastasia dit :

    j’ai sucé la clarté

    de la nuit désireuse, plus qu’aucun autre dans les formes à voltige, elle était demain, sur la route, à l’intérieur fantastique, en
    cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, de jouissances et de poésie, du nom de cette
    inquiétude, 
    Baudelaire Turquoise,  Nietzsche des fleurs

     

  10. bi dit :


    Commentaire n°
    35 posté
    par Anastasia aujourd’hui à 17h49



    Commentaire n°36
     posté
    par Anastasia aujourd’hui à 18h01


    (…)

     


    Commentaire n°31 posté par Anastasia aujourd’hui à 1
    (…)((…)…)6(…)h20




  11. Anastasia dit :


    les yeux (…) à l’ivresse (…)

    sans s’y ensevelir

    (…) qu’un autre tumulte

    MALLARME :
    j’ai sucé la clarté/de la nuit désireuse

    +
    quelques

    chances de JOUISSANCE

     

    Sa beauté
    JULIEN-GRACQ
    d’où elle lui
    écrit
    SUR LA
    ROUTE

    A L’INTERIEUR FANTASTIQUE ON NE MEURT JAMAIS
    du grand vent de tes yeux EN CETTE EXTREMITE QUI
    NOUS ATTENDAIT
     :
    pas assez d’être seule
    à ta poésie ?
    Le jus du récit : je m’élancerai de toutes langues jusque rare/ d’aurore/TON CŒUR
    ME BAT

  12. sacrilège dit :


    (…)


    Commentaire n°31
     posté
    par Anastasia aujourd’hui à 16h20

     


    Ton souffle voltige me bat jusqu’à l’aurore du grand loin, l’effroi partout, une attraction, quelques chances.

  13. Anastasia dit :

    la nuit désireuse DU GRAND VENT DE TES YEUX
    qu’un autre tumulte

  14. Anastasia dit :

    Jusqu’à l’aurore d’un voltige/du grand vent de tes yeux/langues et (/// ruptures

     

    TON CŒUR ME BAT

  15. Anastasia dit :


    Ton cœur me bat
    jusqu’à l’aurore

    d’un
    voltige
    du grand vent de tes yeux
    , plus qu’aucun autre, dans les
    formes et (/// ruptures

  16. Anastasia dit :

    Ton cœur

    me bat jusqu’à l’aurore
    d’un
    souffle
    voltige

    du grand vent de tes yeux

     
    qui
    offraient
    quelques chances

  17. Anastasia dit :

    Ton cœur

    me bat jusqu’à l’aurore d’un
    souffle voltige.
    Du grand vent de tes yeux
    plus loin que l’effroi, demain, partout, d’une
    irrésistible attraction, de nos lèvres turquoises, qui offraient quelques chances.

  18. Anastasia dit :

    (…) tout a tremblé (…) sur mes yeux (…) à fleurir (…)

  19. Anastasia dit :

    J’ai sucé la clarté de la nuit
    désireuse.
    Du grand vent de
    tes yeux qu’un souffle déborde
    . Et quand je dis extase, ça veut dire trafalguer
    l’atmostphère. De jouissances et de poésie,
    plus qu’aucun autre et dans
    des formes et
    ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude.
    Sans s’y ensevelir qu’un autre tumulte, plus profondément que nous-mêmes, à l’extrémité encore vive. De toutes langues. De cette singulière faiblesse d’où elle lui écrit, et nous voilà partis toi
    et moi sur la route à l’intérieur fantastique, de tes lèvres les ciels partout où ils passaient, nos
    palpitations éclatantes, elle était demain, elle était la route
    jusqu’à l’aurore.

  20. Anastasia dit :

    J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse Du grand vent de tes yeux qu’un souffle voltige

  21. reprint dit :

    Je m’élancerai  toutes  voix  en
     extrémité

    à nous, plus vive  la route  l’intérieur , comme le grand
     autre 

    Ton coeur jusque rare.

  22. erraum dit :

    Pas assez 

    seule 

    d’être

      à

    ta poésie

  23. Anastasia dit :

    Je m’élancerai à voix forte en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, ce vœu de toutes langues

  24. Anastasia dit :

    Je m’élancerai de toutes langues, à voix forte, en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, plus vive encore. Sur la route à l’intérieur fantastique, comme le grand vent de ses yeux qu’un autre tumulte. Ton coeur me bat jusqu’à l’aurore.

  25. Anastasia dit :

    Je m’élancerais (…) de toutes langues (…) à voix forte (…) en cette extrémité (…) qui m’attendait (…)
    jusqu’à nous.

  26. Anastasia dit :

    J’ai sucé la clarté de la nuit
    désireuse, 
    elle était
    demain 
    plus qu’aucun
    autre,
     dans les formes à voltige, sur la route à l’intérieur fantastique, en cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi
    qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, du nom de cette inquiétude, de jouissances et de poésie, 
     Baudelaire Turquoise, Nietzsche  qu’un autre tumulte

  27. solo dit :

    Pas assez
    d’être

     seule
    à

    ta poésie

    Tenir le
    bâtonnet

    Lécher
    l’écharde

     Tirer le
    stigmate

     

    voyez le
    jus

  28. Anastasia dit :

    J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse, elle était demain plus qu’aucun autre, dans les formes à voltige, sur la route à l’intérieur fantastique, en cette
    extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, du nom de cette inquiétude, de jouissances et de
    poésie, 
     Baudelaire des
    fleurs, Nietzsche turquoise 
     qu’un autre tumulte

  29. Anastasia dit :

    J’ai sucé la clarté de la nuit désireuse, plus qu’aucun autre
    dans les formes à voltige, elle était demain, sur la route, à l’intérieur fantastique, en cette extrémité d’où elle lui écrit, plus profondément que l’effroi qui attendait jusqu’à nous comme le
    grand vent de ses yeux qu’un souffle déborde, de jouissances et de poésie, du nom de cette inquiétude, 
    Baudelaire Turquoise,
     Nietzsche des fleurs 

  30. Anastasia dit :

    du grand vent de tes yeux plus bombé que l’effroi

    du nom de cette inquiétude la route me
    manquer

    de jouissances et de poésie, éclat des
    transparences

    de cet étrange voltige qu’on ne puisse franchir

  31. Anastasia dit :

    Et de
    courir
    ce qui voyagea longtemps

    plus
    profondément

    que
    nous-mêmes

     

    qu’un
    autre tumulte

  32. Anastasia dit :

    Et
    de courir
    ce qui est trop
    beau
    ce qui voyagea
    longtemps
    toujours de
    manquer

    de
    cette inquiétude
     

     quelques

    chances

    de
    jouissances

    et de
    poésie

    plus
    profondément

    que
    nous-mêmes

     

    qu’un autre
    tumulte

  33. Anastasia dit :

    Sur la route à
    l’intérieur fantastique,

    en cette extrémité qui m’attendait jusqu’à nous, dans l’épaisseur du voyage arraché qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, à la force des éclats, du grand
    vent de ses yeux, voltige 
    d’où elle lui écrit, plus
    profondément que l’effroi, formes et ruptures, qui seront comme le nom de cette inquiétude.

  34. Anastasia dit :


    En cette extrémité qui m’attendait, avec force plus belle, dans l’épaisseur arrachée d’un lieu qui offrait, quelques chances de jouissances et de poésie, plus qu’aucun autre, comme le nom de
    cette inquiétude
    voltige du grand vent de ses yeux, ce quelque
    chose que nous ignorons plus bombé que l’effroi et de courir ce qui est trop beau, ce qui voyagea longtemps toujours de manquer

  35. Anastasia dit :

    NIETZSCHE En
    cette extrémité (…) qui m’attendait (…) jusqu’à nous (…) avec force des éclats (…) doucement (…) plus belle (…) dans l’épaisseur (…) de ce voyage (…) arraché (…)

  36. Anastasia dit :

    Les turquoises Charles Ségalen

     

    Car dans tout l’espace (…) qu’un souffle (…) voltige (..) et déborde (…) comme le grand vent
    (…) de ses yeux (…) ce quelque chose (…) que nous ignorons (…) plus bombé (…) que l’effroi (…) où s’abandonne (…) et si profondément (…) ce feu (…) des transparences (…) matière (…) de courants
    (…) chauds (…) qu’on puisse (…) franchir (…) les turquoises (…) ces palpitations éclatantes (…)
     J’étais attirée (…) de cette singulière faiblesse (…) q’une
    irrésistible attraction (…) de ses lèvres (…) par-dessus (…) le ciel (…) et de courir (…) dans l’ivresse (…) ce qui est trop beau (…) ce qui dépasse (…) d’étonnement (…) voyagea longtemps (…) et
    sans patrie (…) partout où ils passaient (…) elle était (…) demain (…) de la route (…) toujours de manquer (…) dans un endroit qui offrait quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de
    cet étrange (…) pareil secret on ne meurt jamais (…)

  37. Anastasia dit :

    Sur la route à l’intérieur
    fantastique
    , de nos yeux plus profondément que
    nous-mêmes, d’une beauté inconnaissable qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de cette singulière faiblesse.

  38. Anastasia dit :


    Sur la route à l’intérieur fantastique, le commencement d’où
      elle lui écrit, dont le lecteur est
    suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus alerte, plus fatale, d’
    un lieu qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette
    matière plus profondément que nous-mêmes, de cette singulière faiblesse, on ne meurt jamais.

  39. Anastasia dit :

    Le commencement d’où
    elle luiécrit, contre lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus
    alerte, plus fatale, de cette singulière faiblesse, un lieu qui offrait quelques chances de
    jouissances et de poésie,
    de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cet
    étrange
    pareil secret on ne meurt jamais.

  40. Anastasia dit :

    Le commencement d’où
    elle luiécrit, contre lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus
    alerte, plus fatale, de cette singulière faiblesse, un endroit qui offrait quelques chances de jouissances et de poésie, de nos yeux qui seront le nom de cette inquiétude, dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cet étrange pareil secret on ne meurt jamais.

  41. Anastasia dit :


    L
    e
    commencement d’où

    elle lui

    écrit
    ,
    contre
    lequel le lecteur est suffisamment prévenu, inconnaissable de leur beauté nouvelle, plus alertée, plus fatale.

    D
    ans
    un endroit qui offrait quelques chances

    de jouissances et de poésie, de cet étrange

    pareil secret on ne meurt jamais
    .
    Comme
    tout être acharné dans les formes et ruptures qui seront comme le nom de cette inquiétude. Et de nos yeux dans cette matière plus profondément que nous-mêmes, de cette singulière faiblesse
    .
    J’ai
    sucé la clarté de la nuit désireuse qu’un autre tumulte.

  42. Anastasia dit :

     (…) l’assez grand dénuement (…) le
    commencement (…) d’où elle lui a écrit.

  43. Anastasia dit :

    LES

    EXTRAORDINAIRES

     

    Sa beauté (…) contre laquelle le lecteur est
    suffisamment prévenu (…) plus alertée et plus fatale (…) inconnaissable (…) de leur rencontre nouvelle (…).

     

    Julien Gracq

  44. Anastasia dit :

    Et de nos yeux (…) dans cette matière (…) plus profondément que
    nous (…) de cette singulière faiblesse (…) toujours de manquer (…) et de courir (…) d’étonnement (…) dans un endroit qui offrait
    quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de cet étrange  (…) pareil secret on ne meurt jamais (…)
    comme tout (…) acharné (…)
    mais plus qu’aucun autre (…) et dans des formes (…) et ruptures (…) qui seront (…) comme le nom de cette inquiétude (…). J’ai sucé la clarté (…) de la nuit désireuse (…) sans m’y
    ensevelir (…) qu’un autre tumulte. 

    Mallarmé Prigent Baudelaire

  45. Anastasia dit :

    et de nos yeux (…) dans cette matière (…) plus profondément que nous (…) 

  46. Anastasia dit :

     

    MALLARME, j’ai sucé la clarté (…) de la nuit désireuse

  47. Anastasia dit :

     

    QUOI

    ENCORE

    BON

    DES POETES

     

    IMPREVISIBLE (…) comme tout (…) acharné (…) mais plus qu’aucun autre (…) et dans des formes (…) et ruptures (…) qui seront (…) comme le nom de cette inquiétude (…) De résistance (…) et (…) de (…) surgissement (…) sans s’y ensevelir (…)
    qu’un (…) autre (…) tumulte (…)

     

    Christian Prigent

  48. Anastasia dit :

    Baudelaire des fleurs J’étais attiré (…) de cette
    singulière faiblesse (…) l’irrésistible attraction (…) les yeux par-dessus (…) le ciel (…) et de courir (…) dans l’ivresse (…) ce qui est trop beau (…) ce qui dépasse (…) d’étonnement (…) voyagea
    longtemps (…) et sans patrie (…) partout où ils passaient (…) avec (…) pareil secret on ne meurt jamais (…) elle était (…) demain (…) de la route (…) toujours de manquer (…) dans un endroit qui
    offrait quelques chances (…) de jouissances et de poésie (…) de cet étrange.

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