1155.

Vaines recherches ! Nous restons toujours sans nouvelles de l’excellent auteur dont le manuscrit gonfle nos tuyauteries numériques. À moins d’un excellent certificat médical ou d’un mot de sa maman, le voici désormais refusé à vie. Nous n’allons pas laisser un auteur accepté remettre en cause notre capacité de refus. Adieu, J.V. (de potence) !

C’est niquedouille, cette histoire belge.

10 Replies to “1155.”

  1. marsac dit :

    T’en ai assez donné

    tu l’as eue ta choucroute

    à fleur de vers

  2. mieuxvautparfoisunmeuble dit :

    J’aime bien ton absence à moi,

    elle me recalcifie

    prière de disparaitre

    sinon tes restes

    qu’on s’y allonge

    en fakir

     

     

  3. fibula dit :

    Fonctionnellement je suis encore viable

    mais à peu de choses près

    une routine me fait te dire ce qui ne pèse pas

    pourrais me taire, et nous ensemble

    rien n’y ferait 

  4. spiral dit :

    tu aimes Pessan

    alors il faudrait

    puisses tu n’aimer que lui

  5. parfoisjedessinesanscarnet dit :

    d’un abonnement mensuel de neuf euros à Mediapart, j’ai pleuré pour la première fois depuis.

    suffisait au jeton la fente, humain automate.

     

  6. glam dit :

    La suite, même beat, flange si tu veux pour la sueur, je passe le bras tantôt, j’ai peur, je danse de haut sur un post disco. Un glamsopt irise ma chevelure
    ventilée, pas de bourrée. On se demande si, mais ça n’arrête pas. De gauche bras droit, de droite tu vois. Tu te sens commencer à mourir comme ça? charrie!

  7. IWBYL dit :

    Comme j’ai perdu de temps à devenir rentable. J’avais décentré. 

    Je vais alors te dire comment je mourrai, c’est sûr, les fonds placés, rombière chez la mort, rombier sans doute.

    Je voudrais d’abord danser un certain post dicsco sur des talons de quinze à seize centimètres, un trench étroit et de la peau. Danser en affolé de gauche de
    droite, qui regarde si, et non, et aussi, et si jamais, une pure émission hormonale sur un beat double sans flange.

    et ça n’est que le début du rien de la première partie de comment je meurs. tu suis?

  8. prono dit :

    Allez viens donc mignonne c’est l’heure des épiciers.

    Souvenir d’appâts, ces pâtes dégueulasses qu’on lançait aux petits carnassiers. 

    Tu la trouves de quel pain ma mie? Je veux être lourd, splasher dans la vase, sentir la friture, une envie grave et sale. Tu
    suis?

    et avale-moi.

  9. front dégauchi dit :

    Marsac, tu placeras d’abord tes fonds de casserole avant de popoter.

    J’ai décidé de te retrouver plus ferme, te mater à raison, repartage à zéro, le curseur où tu le sens!

  10. place nette sur longue queue dit :

    SWFT est un yhahvhe qui éternue, revenu des cendres, son tapin à battre, deux fois qu’une, et planté d’ordi en ordi. plus pute que fumant, je
    confesse.

     

    Tu m’as manqué ballerine, tu es fraiche, tu es celle d’une semaine, je te dis celle d’une semaine, neuve et réinventée,renée , je t’ai poussée bon sang, gros
    de toi, à la déchirure, petit point des couseuses, je te suis tu vois, toi tu sautes sur rien, tu sautes et t’arrêtes, personne ne s’arrête ainsi. Décider la station au grand virage qui tangue,
    c’est mieux que valeureux, tu vois, t’avoir perdue m’a démembré et ne me reconnais plus. ballerine, saute donc; Avec ma roue de secours, ma galette moche où mes gros doigts bavent, je
    mate. 

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