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Le meilleur de la mauvaise foi

Le principe qui consiste à appliquer différents titres à une photo pour en changer le sens est connu des publicitaires, beaucoup moins des lecteurs allaités aux corn-flakes littéraires. Rebaptisant « Le meilleur de la mauvaise foi » les pages acrimonieuses de ce blog, les plus haineuses dédiées à nos amis du Matricule des auges (– Ça va les groins ?), nous en adoucissons d’un baume la virulence vinaigrée en redéfinissant sans y toucher nos intentions mauvaises : notre humour outrancier ne visait pas l’humanité confite dans l’auge, mais entendait mettre à distance une manière d’être promise à la casserole – une sorte d’humour d’un genre nouveau auquel manqueraient l’humour et le nouveau.

Pour l’article sur Brodsky, on vous attend, les gras. On n’a pas encore eu notre compte d’incompétence.

 

 

À paraître

Correspondance avec l’ennemi
de Christophe Esnault
(septembre 2014)

 

Pauvre Baudelaire
de Jules Vipaldo
(décembre 2014)

1124.

Notre lucidité compte sur l’interrupteur.

 

1123.

Épargnez-nous dès aujourd’hui vos proses peignées comme un dimanche.

 

Leurs livres sans fil ne doivent rien au numérique. Les petits éditeurs ont compris la combine : survivre aux pertes en grattant les profits (le travail non payé
des imprimeurs de l’Est).   

 

Quelle humanité espérer d’un livre collé à la sueur d’une langue sans avenir ?

 

Remettons le marteau sur l’enclume : une tête de noix, deux têtes de noix, trois têtes de noix.