166.

Évidemment. Nos livres ont l’ambition de changer le monde – à l’échelle d’une ou deux heures de lecture.

 

Quelques auteurs n’ayant pas eu le loisir de tenter l’expérience, mais riches des manuscrits précieux qu’ils nous avaient fait parvenir, se sont plaint du
télégramme d’hier. (« Lisez nos livres. Stop. »)

 

– Soit vous êtes éditeur, vous éditez, soit vous branlez la plume du gros bouffi de la littérature capitaliste française ! Un éditeur, ça prend des risques.
& Le risque = c’est nous.  [En plein Jirgl.]

 

– Plainte entendue, admit David Marsac, touché par ce rappel à l’ordre.

 

Mais pourquoi renoncer aux ressources du Bouffi ?