1121.

 

La boutade et le jeu de mots cherchent passage vers des évidences inaccessibles.


J’ai finalement choisi de passer à la postérité en traduction ; sous le nom de Shakespeare ou celui de Kafka. J’hésite encore au moment de publier mon autobibliographie.


Vous pouvez préférer mon tout dernier ouvrage.

 

 

7 Replies to “1121.”

  1. Anastasia dit :

    POUR
    MASHO

    -Tu vas me lancer tes
    vestiges d’agonie combien de temps encore Masho ? Question d’ardeurs ? Tu sais ce qu’elle te dit la mégafiction ? Décolle l’infâme prudence et la rustine splendeur de tes sonates
    en sourdine fixées d’insaturé. Tu veux parler des aspirations démocratiques de la CIA dont la violence exulte la tyrannie ? Quelque chose à ajouter sur Goethe, le Japon et Blanchot ? ENTAMER
    UN VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT PAR LE TROU DU CUL DU MONDE PEUT-ETRE ? Tu vas tirer sur Zeller toi aussi ? Tant que ça bouge, y a du fauve ? Les propos justifient les ambulances du moment
    que ça crève ? Tu y étais au bord des mondes ? D’où il nous vient celui-là ? Décharge le nord de tes abymes pensées avant que je ne te lux
    e la mâchoire d’un fard.

  2. // dit :

    J’apprends
    le gavage des oies à des fins d’expression.

  3. / dit :

    Au décompte je te
    quitte

    c’est là ton
    existence Justifiée

    ma bassesse toute
    signée

     

    parfois j’ai mal
    pour t
    es yeux

  4. RAW dit :

    Je
    viens de comprendre que ma fidélité s’ébroue quand je sors. Je pars et je t’en fais le conte, sous la douche, le peignoir, le make up, débordé d’imprécis, j’ai besoin de te dire, mon déluré
    minable.

    C’est
    mieux qu’un cannibale, une psychanalyse en rose. Ring ring : seul vainqueur, gavé d’abruti.

     

    creusons,
    je te prie.

  5. Anastasia dit :

    Tu n’as
    qu’à lire sieur Boarbaran, un spasme ventilé de mou dont l’aorte asphyxiée et phrastique élance un régiment de divans froids empaillés d’anémie, depuis la mort on n’avait pas fait mieux :
    « une présence creuse marquant les fauteuils vides (…) dans un silence rendu aux souvenirs éteints (…) dans l’absence de deuils successifs »

  6. orangrade dit :

    Vibreur à l’appel du sucre. A moi il parle l’univers, l’étoile se traine en roulade rien que, le destin du soleil ne concerne que moi, je décroche, j’accepte
    tous les appels, débordé d’amour mon moi standard.

    Recevoir les mots comme les salir, tendre le cul au baiser de la belle. Tenir la part moche du conte.

  7. Anastasia dit :

    L’astre ou l’aube d’un grand feu rêveur baise ta peau de
    vertige et nos grands yeux vivants

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